Au XVIIIe siècle, la grossesse était un état recherché car la femme accédait au statut de mère. La procréation est une des finalités du mariage. La femme sait reconnaître les signes dès les premiers mois : absences de règles, nausées, seins gonflés…Celle-ci est souvent confirmée par le fait que l’enfant bouge dans le ventre (vers le 4e mois). L’annonce de la grossesse rassure vis-à-vis de la question de la fertilité. La grossesse demeure cachée par les vêtements. Si la descendance est nombreuse la femme obtient le respect de son mari et de sa famille. J’imagine alors que mes ancêtres normandes qui ont mis au monde entre 8 à 13 enfants ont dû être très respectées. On estime que les femmes mariées mettaient au monde en moyenne cinq enfants au XVIIIe siècle et trois vers la fin du XIXe siècle. Face à l’annonce de la grossesse, ces femmes éprouvaient un sentiment de fierté mais aussi un sentiment de peur. Quels sont les évolutions et les risques des accouchements du XVIIIe au XXe siècle ? Les sources que j’ai utilisé sont essentiellement les actes de naissance et de décès. En regardant de plus près, cela nous apporte des informations précieuses. Les déclarations dans les actes de naissance nous permettent d’avoir quelques indications sur l’accouchement notamment sur les accompagnants et les lieux.
Des accouchements en fonction de l’évolution de la médecine
Une histoire de solidarité féminine au XVIIIe siècle
Les femmes sont résignées à ce que l’accouchement se passe dans la douleur. Il n’y a ni péridurale ni césarienne de confort. La souffrance est vécue comme une fatalité. Selon l’église, la femme doit au travers de cette souffrance expier le péché originel. La femme craint les fausses couches, de donner naissance à des enfants malformés ou à des monstres. L’accouchement est donc un moment angoissant où la maladie et la douleur sont présentes. A partir de 1768, la grossesse est considérée comme un état naturel. Ce n’est pas une maladie.
L’accouchement se passe toujours à la maison ou chez les parents dans un endroit familier souvent une pièce commune. On calfeutre la pièce afin de garder la chaleur. En 1757, Marie Laborde accouche chez elle de jumeaux (cliquez sur le lien) en présence d’une sage-femme. En effet, on peut lire « ils ont été dument ondoyés à la maison ainsi qu’il m’a été certifié par Marie de Soubac, sage-femme ».
Pour les plus pauvres, on accouche fréquemment à l’étable.
La naissance est une histoire de solidarité féminine, familiale ou villageoise. Il y a parfois une multitude de femmes (matrone, parentes, amies, voisines). Le mari est parfois présent. Ces femmes accompagnent, rassurent la future maman lors de l’accouchement. Elles aident également la femme alitée après l’accouchement. Elles nettoient et emmaillotent le bébé, aident aux travaux que ne peut accomplir la parturiente.
La femme accouche dans la position de son choix : debout, assise, sur le côté, à genoux. Dans la France traditionnelle, la femme accouche sous les draps et avec des vêtements car on ne doit pas la voir nue.
La femme peut reprendre ses tâches habituelles et le chemin de l’église entre 8 à 40 jours après ses couches. Dans les milieux populaires, le travail est considéré comme bénéfique. L’église prévoit une cérémonie appelée « relevailles » après le rétablissement de la femme afin de la purifier. Elle doit également se confesser et communier. Elle n’assiste donc pas au baptême de son bébé. La déclaration de la naissance se faisait le plus souvent le jour même ou le lendemain de la naissance de l’enfant.
Les déclarations de naissance
Au XIXe siècle les naissances devaient être déclarées dans les 3 jours après l’accouchement par le père, le docteur, le chirurgien ou la sage-femme ou tout autre officier de santé ayant assisté à l’accouchement. Passé ce délai, il fallait faire appel au tribunal qui rendait son jugement. Les officiers municipaux devaient alerter le procureur de la République qu’une naissance n’avait pas été déclarée dans les trois jours afin que celui-ci poursuive les délinquants.
Dans la majorité des actes de naissance de ma généalogie, la déclaration a été faite sur la réquisition du père.
Jean Joly, vigneron dans le Loir-et-Cher a déclaré la naissance de sa fille Marie Julie (Julienne) le 29 fructidor an 9 (soit le 16 septembre 1801).
Le 10 mai 1797, Jeanne Poyarty accouche chez elle. Jean Gaudeboeuf, son mari ainsi qu’un officier de santé étaient présents à son accouchement.
Les accouchements se déroulent principalement au sein du domicile conjugal. Pour Léonce Auguste Labbé, on sait que sa naissance a eu lieu au domicile de ses parents, « né hier à dix heures du matin, dans le domicile de son père ». Il en est de même pour Casimir Tiercelin. Sa mère l’a mis au monde le 14 juin 1840 à Averdon (Loir-et-Cher) dans le foyer conjugal.
Vous trouverez aussi dans les actes ces différentes mentions : « au domicile du déclarant », « au domicile paternel », « né en sa demeure », « dans sa maison », « dans le domicile de ses père et mère »…
La parturiente peut mettre au monde son enfant chez ses parents. Antoinette Pujol accouche de son premier enfant au domicile « de ses aïeux maternels ». La présence de la mère est plus rassurante.
L’accouchement peut se faire chez le patron du couple, Charles Auguste Labbé est né le 21 décembre 1835, dans la « maison de Monsieur Roussel, […] à trois heures du matin ». Son père exerçait la profession de garde particulier dudit lieu.
Dans certains cas, il s’agit d’un autre membre de la famille qui déclare la naissance. J’ai étudié le fan-club (nom proposé par Sophie Boudarel pour désigner l’entourage : famille, amis et voisins) de Noélie Héris mon AAGM, ce qui m’a permis d’avoir accès à l’acte de naissance du fils de son patron, Léonce Dejean. Auguste Dejean étant absent lors de la naissance de son fils n’a pu faire la déclaration. C’est son cousin, Etienne Alfred Chevillias qui a comparu à sa place ayant assisté à l’accouchement de sa belle-cousine.
Il n’est pas rare de voir au XXe siècle, les déclarations faites par les grands-parents. Celle de la naissance de ma grand-mère paternelle en 1931 a été faite par son grand-père maternel, Jean Bermis. Le 28 mai 1921, Marie Madeleine Gaury a été présentée par son aïeule maternelle. Florestine Sophie Picard est également mentionnée pour la naissance de son petit-fils Lucien Arthur Daniel né en 1907.
Depuis 2017, la déclaration de naissance peut se faire dans les 8 jours après l’accouchement.
La présence de la sage-femme dès le milieu du XVIIIe siècle jusqu’au XXe siècle
A partir de 1759, la formation des sages-femmes se développe dans toute la France. Le 30 juin 1802, la première Ecole nationale des sages-femmes est ouverte. En 1803, les sages-femmes doivent suivre des cours durant une année et apprendre la pratique sur des accouchées. On ouvrit par la suite des écoles départementales pour faciliter le recrutement local. Il existait deux catégories de sages-femmes : celles formées dans des facultés dites de première classe et celles formées dans les écoles départementales dites de seconde classe. Les premières pouvaient exerçaient leur métier dans toute la France tandis que les deuxièmes uniquement dans le département. Cette distinction subsistera jusqu’en 1916 (uniformisation du diplôme). Ce sont les premières femmes qui obtiennent un diplôme en France.
En 1894, leur formation dure deux ans (base en obstétrique, petite chirurgie, botanique, vaccination…). Lors d’un accouchement compliqué elles doivent faire appel au médecin. Mais celles qui interviennent dans les campagnes sont bien obligées de pratiquer des accouchements difficiles nécessitant l’utilisation des forceps. Elles étaient habilitées à dispenser des soins généraux auprès des malades et des enfants. Les femmes préféraient faire appel à ces dernières qu’à des médecins du fait de la pudeur entre une femme et un homme.
Pour connaître le parcours d’une sage-femme, je vous invite à lire l’article d’Elise Lenoble sur son aïeule.
Désormais, la future maman se retrouve seule en sa présence. La pièce est aérée. Elle devait congédier les importuns, découvrir le moins possible la parturiente lors de l’accouchement et de sa toilette, lui donner le meilleur maintient pour accoucher et savoir être discrète pour laisser les époux accueillir le bébé. Elle est tenue au secret médical.
Le 23 décembre 1850, Elisabeth Corral est assisté d’une accoucheuse Suzanne Bachoque quand elle met au monde son fils Jean-Gabriel Gaudeboeuf (un article lui est consacré). Le 7 juillet 1862, elle accouche de Marie Jeanne en son domicile, 11 rue Clément sur Bordeaux. Elle est entourée d’une sage-femme Marguerite Fournier.
L’accouchement dans les hôpitaux jusqu’au XIXe siècle concerne principalement les filles-mères et les plus pauvres. Les naissances y sont bien plus dangereuses qu’au domicile à cause des épidémies de fièvre puerpérale (liée au streptocoque). Les germes se propagent dû a un manque d’hygiène du personnel. Ils ne se lavent pas les mains entre chaque patiente, les instruments ne sont pas non plus stérilisés…
Elisabeth de Galzagorry accouche à l’hôpital Saint-André à Bordeaux. La déclaration a été faite par Madame Barbe, sage-femme de cet hôpital.
Une des obligations des sages-femmes consiste à déclarer les naissances dont elles ont pratiqué les accouchements lorsque le mari est indisponible.
Juliette Floch, femme Albert est obligée de déclarer la naissance de ma grand-tante Denise Laguerre Boulant vu qu’elle a procédé à l’accouchement de mon arrière-grand-mère Blanche Adrienne Diard. Mon arrière-grand-père Désiré Alfred Boulant était absent, il est indiqué comme étant « sous les drapeaux ». Rien que le deuxième prénom de l’enfant est un bon indicateur. Désiré mon AGP est partie faire la guerre. Denise est née le 1er août 1914. La Première Guerre Mondiale a débuté le 28 juillet 1814.
Les sages-femmes devaient également signaler toutes les naissances hors mariage, les naissances illégitimes.
C’est le cas pour la naissance d’Anne Jeanne Gaudeboeuf, conçue avant le mariage de ses parents (à lire dans les conceptions prénuptiales). Sa mère Elisabeth de Galzagorry accouche chez elle, elle est assistée de Madame Lefort, sage-femme rue Dauphine à Bordeaux qui a présenté l’enfant et déclaré que la petite fille était née de père non nommé. Jeanne Dunoyer met au monde une fille naturelle Jeanne Léontine. Sa naissance est enregistrée par Suzanne Dumas, sage-femme âgée de 46 ans. Les enfants adultérins de Jacques Gaury et de Jeanne Laville sont déclarés par Madame Gourgue née Magdeleine Messac, sage-femme domiciliée à Maransin.
Mon arrière-grand-mère, Yvonne Jeanne Azéma épouse Gimel (vous avez fait sa naissance dans deux articles : Remariages et Unions brisées) , a fait appel également à une sage-femme pour ses accouchements en 1909, 1915 et 1921. Il s’agit de la même personne, Marie Lasserre, 60 ans. C’est un signe qu’elle lui faisait entièrement confiance. Elle devait avoir beaucoup d’expérience en tant que sage-femme vu son âge. Il existait une autre sage-femme sur Libourne comme je peux le voir grâce à l’acte de naissance de Valmonne Gimel qui se nommait Madame Besson. A découvrir l’enfance de Valmonne.
Le médecin de la maternité au XXe siècle
C’est à partir des années 1920-30 que la naissance dans les hôpitaux se répand dans les grandes villes. L’accouchement devient un acte médicalisé. L’hôpital se spécifie et on voit apparaître des maternités ainsi qu’un personnel plus qualifié, le médecin. Les praticiens masculins et notamment les chirurgiens deviennent des acteurs importants lors des accouchements. Ils sont apparus dès le XVIIIe siècle mais ils étaient surtout là pour aider les femmes de la noblesse et de la bourgeoisie.
Sylvette Raymonde Yvonne Gimel (1923), René Raymonde Gimel (1926) et Jacqueline Marguerite Gimel (1929) sont toutes les trois nées à la maternité, rue de la Marne sur Libourne. C’est le médecin-chef André-Duclion qui a déclaré leurs naissances. Il a également mis au monde quatre autre de mes grands cousins Geneviève Madeleine Gaury (1925), Henri Marc Gaury (6 mars 1928), Marie Jeanne Thérèse Gaury (1924 ) et Claude Christian Gaury (21 février 1928). Ils n’appartiennent pas à la même fratrie.
Marguerite Yvonne Boulant est née quant à elle à la maternité d’Elbeuf le 22 mai 1911.
Les médecins vont ensuite également établir des diagnostics lors de la grossesse et commencer à suivre les patientes. Les femmes consultent les médecins de manière épisodique. C’est le cas d’Andrée Gabrielle Azéma épouse Bouffard qui a eu une consultation, le 12 juillet 1926 à la clinique d’accouchements sur Libourne (elle fait partie des exemples de mon article sur les remariages et elle est également un des personnages principaux d'unions brisées). Cette consultation lui a permis de connaître la date possible de l’arrivée de son enfant.
La femme accouche désormais dans une seule position, allongée sur le dos. Les femmes sont lavées, rasées et portent toutes les mêmes habits fournis par l’hôpital. L’accouchement se déroule dans la solitude, en raison des règles d’hygiène la famille et le mari sont refoulés. On craint les germes. Les femmes sont encouragées à crier et à exprimer leur douleur. Après l’accouchement, les règles sont strictes sur les visites et les repas. L’hôpital conserve une image défavorable et beaucoup de femmes préfèrent accoucher chez elles en présence d’une sage-femme. Ce qui est visible dans ma généalogie. Beaucoup de mes ancêtres ont accouché chez elles.
A partir de 1945, la sécurité sociale et les allocations familiales sont créées. A partir de 1952, l’accouchement en milieu hospitalier s’accélère. On incite les femmes à accoucher dans les maternités. Cependant mes grands-mères maternelle et paternelle ont accouché chez elles avec l’aide d’une sage-femme. Mes parents, oncles et tantes sont donc nés au domicile familial de 1944 à 1958. Madame Martorelle a ainsi participé à la venue au monde de ma mère.
De nouvelles méthodes ont permis de rendre l’accouchement moins douloureux. L’inconnu fait toujours peur mais l’angoisse de la douleur grâce à la péridurale est moins intense. Les femmes sont de mieux en mieux accompagnées lors de leur accouchement. A partir de 1970, les accouchements se font essentiellement à l’hôpital. Les accouchements à domicile se font de plus en plus rares. Ma mère a accouché à l’hôpital et a pu bénéficier de la péridurale (apparition dans les années 1980) pour ma naissance. La famille et le mari ne sont plus refoulés. On incite le papa à rester et à participer. Il va ainsi pouvoir couper le cordon ombilical.
Les risques d’un accouchement
Selon le proverbe gascon, « femme grosse a un pied dans la fosse », la perspective d’une grossesse et d’un accouchement est pour la femme synonyme de peur. La femme craint pour sa vie. Au XVIIIe siècle, 1,1% des accouchements se terminent par la mort de la mère dans l’ensemble du royaume, ce pourcentage peut être parfois plus élevé dans les campagnes. Les progrès de l’obstétrique tendent à réduire la mortalité maternelle au fil du temps.
La mortalité des suites des couches peut survenir le jour même, le lendemain ou dans la première semaine.
La première femme d’Yves Boulan (vous avez pu faire sa connaissance dans l’article sur les remariages), Marie est décédée 4 jours après avoir mis au monde son premier enfant, le 26 juillet 1706.
Beaucoup de décès interviennent dans la semaine après les couches à cause des problèmes liés à l’enfantement. Catherine Héris serait ainsi morte des suites de son accouchement, laissant Noélie orpheline (un article lui est dédié). On ne pouvait pas lutter contre une hémorragie ou contre l’étroitesse du bassin. La césarienne n’existait pas.
Malgré tout, de nos jours le risque de mourir de suites d’un accouchement même en milieu hospitalier persiste. Cet été, la nièce d’un ami de ma famille, qui était du même âge que moi est décédée lors de l’accouchement de son premier enfant.
Il existe également une mortalité maternelle plus tardive qui peut apparaître 60 jours après l’accouchement. Les décès plus tardifs sont également nombreux. Ils peuvent être provoqués par une fièvre puerpérale ou une infection utérine…
Je me demande si la mort de Magdelene Marie Magis décédée le 26 octobre 1742 n’est pas la conséquence de la naissance de son dernier enfant Bertrand Gaudeboeuf. Elle est morte 6 mois après sa naissance.
Un accouchement compliqué peut provoquer la stérilité des femmes. C’est le cas des femmes n’ayant pas eu d’autres enfants à la suite du premier bébé qui est décédé. A l’époque la stérilité est toujours imputée aux femmes. C’est donc un échec personnel. Elle était redoutée. Les femmes prenaient toutes sortes de plantes pour remédier à cet état et faisaient de nombreuses prières. Certaines en sont même venues à s’empoisonner.
Cette absence d’enfants peut rompre les liens avec le mari. C’est donc une pression pour la femme, devoir donner un enfant à son mari et si possible un garçon.
Julie Thérèse (une des protagonistes de mon article Incroyable méli-mélo) n’a plus jamais enfanté après le décès d’un enfant de sexe masculin mort-né. Sa relation avec Jacques Gaury en a sûrement été impactée puisqu’il a trouvé une maîtresse avec laquelle il a eu trois garçons.
Augustine Gimel (à découvrir comme bébé prématuré) accouche d’un enfant de sexe masculin le 20 avril 1911. Ce dernier est présenté sans vie. Elle n’aura jamais d’autres enfants. Mais le couple a surmonté cet obstacle.
Pour les enfants déclarés sans vie, il s’agit de ceux dont la naissance n’avait pas été enregistrée et dont le cadavre avait été présenté à l’officier de l’état civil. Le bébé a été enregistré dans les actes de décès.
La femme du XXe et XXIe siècles ne se résume pas à son seul statut de mère. Ce n’est pas sa seule vocation et son seul but. Certaines femmes choisissent de ne pas avoir d’enfants. La contraception a permis ce libre choix. De nos jours les accouchements se sont diversifiés : à domicile, programmé, sous hypnose, dans l’eau, avec acupuncture, traditionnel par voie basse, par césarienne et sous péridurale .
L’accouchement à l’hôpital fait débat de nos jours. On dénonce la médicalisation comme par exemple le fait que les femmes soient branchées à un monitoring, perfusées, laissées seules. Il y a un manque de liberté. Les accouchements se font à la chaîne. Les infirmières ont de moins en moins de temps à accorder aux patientes du fait du manque de personnel. On dénonce les accouchements déclenchés où la mère peut choisir la date de naissance de son enfant. Les couples souhaiteraient plus d’autonomie et de liberté sur le déroulement de l’accouchement, notamment sur la position ou sur le fait d’être encadrée par une seule personne... De ce fait on voit apparaître le retour des accouchements à domicile. Mais ce n’est pas une généralité.
Je ne me positionnerai pas sur ce débat car chacune est libre de ses choix pour accoucher dans les meilleures conditions. Ce serait mal venu sachant que je n’ai pas eu l’expérience de l’enfantement.
Et vous, savez-vous comment vos ancêtres ont accouché ?
Edition d’Ophélie
Comentários